La Boule Lyonnaise, petit détail noyé dans une réalisation importante.

Je dirai, merci pour nous. Ancien bouliste, je suis comblé. Vous avez eu la sagesse de conserver en ce lieu magique, quai Rambaud en bordure de la rivière,  la tradition lyonnaise en offrant à la boule lyonnaise un Club House, qui lui procurera un point d’ancrage solide ainsi qu’un nouvel éclairage. Il est évident que ces nouvelles installations devront pérenniser le jeu de boule sous toutes ses formes, éducatives, sportives, ludiques mais surtout une valeur de patrimoine. Ceux  qui en n’ont la charge devrons répondre présents. Pour information une équipe de ce club a gagné cette année, Bellecour en  quatrième division ,  concours traditionnel de Pentecôte, avec ce succès ils préparent l’avenir. Egalement il serait juste que les  pétanqueurs du quartier, beaucoup sont talentueux, se rapprochent des joueurs de lyonnaise pour que tout le monde fasse vivre et profite  de ce CLUB HOUSE. Le jeu de boule actuel des pétanqueurs va être détruit, ils devraient pouvoir bénéficier d’un espace simple à proximité de la boule lyonnaise.  L’union fait la force, c’est valable aussi pour les boules.

Je me permets de présenter en vrac mes réflexions qui ne sont que des images instantanées. Une réalité m’est apparue dans toute sa simplicité, ce Projet des Rives de Saône va mettre en valeur un joyau naturel qu’est le site du confluent, enfoui jusqu’alors sous les encombrants économiques de la ville et ignoré de la plupart des lyonnais. Par contre, ce quartier protégé par la gare et le reste évoluait tranquillement en conservant un esprit précieux de village. L’évidence dans toute sa sagesse, l’espace qui s’étend de la place Carnot jusqu’à la pointe du confluent, dénommé aujourd’hui CONFLUENCE fera de LYON une ville estivale, pour l’instant valeur économique non apparente. Cette âme de village, en fera sa réussite. Pendant la réunion, je ne me suis pas exprimé, d’autres l’on fait très bien, leurs revendications s’intéressaient aux détails. Pour moi le fondement me convenait, les détails se règlent à l’usage. MB Atelier de concertation du 20 mars 2012.( Réflexions annexe)

L’ambition du projet des Rives de Saône, sa richesse et la durée de sa mise en œuvre (environ 7 ans sur site) ont naturellement conduit à la réalisation d’une Maison du projet Rives de Saône, pièce clé du dispositif de communication: lieu de présentation, de valorisation du projet, mais aussi lieu d’échange et de dialogue avec le public.

Outre cette fonction de communication, la Maison du projet est aussi et surtout un véritable objet artistique, une œuvre inédite et unique, qui s’intègre au projet global Rives de Saône.

La Maison est située dans la presqu’île de Lyon, en bord de Saône, au centre du futur projet de cheminement et installée de façon spectaculaire à la fois sur le parking Saint-Antoine, le pont Maréchal-Juin et le quai Saint-Antoine, lieu symbolique; entrée principale Ouest de la presqu’île, qui est par ailleurs l’emplacement du 2ème marché alimentaire de Lyon.

La rencontre entre art et architecture et environnement urbain en bord de Saône

La Maison du projet se veut l’incarnation de la démarche qui guide l’ensemble du projet Rives de Saône: une rencontre privilégiée et inédite entre l’art, l’architecture et l’environnement urbain. Il s’agit de donner à ce lieu de rendez-vous, une identité forte, à l’image de chacune des 8 séquences qui rythmeront le projet d’aménagement des Rives.

La Maison est ainsi envisagée comme un véritable signal au cœur de l’agglomération lyonnaise. Sa conception a été confiée par le Grand Lyon à l’artiste-architecte Didier Fiuza Faustino avec pour objectif de créer un objet urbain inédit à l’identité forte. Le développement et la réalisation de cette œuvre a été pilotée par Aurélie Le Bruchec, architecte DPLG. (Source dossier de presse)

Le programme est disponible sur le site: www.lesrivesdesaone.com

Le 20 juin 2011, un premier atelier de concertation avait permis d’élaborer un diagnostic partagé  de l’état actuel des espaces publics des Rives de Saône. Par ailleurs, le concepteur du projet,  l’agence ADR-Architectes, avait présenté les premières pistes d’aménagement envisagées sur un  périmètre allant de la place Gensoul au Cours Bayard.

Depuis lors, l’agence ADR-Architectes a précisé le travail de conception en cherchant à intégrer  au mieux les attentes exprimées au cours de cette première rencontre sur le terrain . Ce  deuxième temps d’atelier poursuit deux  objectifs: présenter les études d’avant projet de ce  nouvel espace public puis recueillir l’avis des participants.

Pour lire le compte-rendu cliquez ici

Dans le cadre de Atelier de Concertation du 20 Mars 2012, Julien Descombes (architecte paysagiste)  présente son projet « Confluence Kitchener-Marchand » à la maison de la  Confluence